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Pour une école de la culture, contre l'inquisition pédagogiste - un blog de Michel Renard
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  • défense de l'école des savoirs et de la culture, pour que l'école instruise vraiment les enfants des milieux populaires non favorisés culturellement, contre les destructeurs de l'école (libéraux, pédagogistes, démagogues...)
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16 mai 2006

Réponse à l'article de M. André Ouzoulias (Mireille Baux-Grandval)

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Réponse à l'article de M. André Ouzoulias

Mireille BAUX-GRANDVAL



Réponse à l'article de M. André Ouzoulias,
Libération
du 4 janvier 2006.

andreouzoulias_2
L'article de M.Ouzoulias du 4 janvier dernier contient tant d'erreurs que je ne peux les laisser passer.
Il est faux de dire que «le B-A, BA est enseigné [au CP] dès le début de l'année».

Tous les parents peuvent le vérifier : au CP, on commence par la «semi-globale», c'est-à-dire en continuant ce qui a été pratiqué dans les deux dernières années de maternelle et qui est bel et bien de la « globale » telle qu'elle est décrite dans deux documents officiels : Qu'apprend-on à l'école maternelle ? et dans le chapitre «Cycle des apprentissages fondamentaux –cycle 2» extrait du bulletin officiel n°1 du 14 février 2002 [http://www.education.gouv.fr/bo/2002/hs1/cycle2htm], où l'on peut lire qu'au CP, l'élève «poursuit et complète le travail commencé à l'école maternelle» ( p.3). Or, comme le dit le premier document, à la fin de la maternelle, on doit se demander : «L'élève est-il capable d'identifier instantanément les mots classés dans les cinquante premiers rangs de la liste de fréquence ? (…) La reconnaissance des mots est un point d'appui important pour la lecture, car elle prend moins de temps que le déchiffrage intégral de chaque mot rencontré.»
Et tous les parents savent qu'en maternelle les enfants apprennent à reconnaître des étiquettes, et non pas à lire des lettres et à apprendre le son qu'elles «ont» !
Et, au CP, on continue selon cette méthode au moins jusqu'à la Toussaint.

M. Ouzoulias brandit le spectre de la dyslexie, pour inquiéter les parents, affirmant que c'est dans les années 60 que se produisit le «boum» de la dyslexie, alors que, tout simplement, c'est à ce moment-là que l'on tenta de sensibiliser les instituteurs à ce problème et que l'on commença donc à dépister les éventuels dyslexiques.
Ce que ne dit pas M. Ouzoulias, en revanche, c'est que depuis les années 70 et de plus en plus, les2856168299.08.lzzzzzzz orthophonistes voient se précipiter dans leur cabinet de «vrais-faux dysléxiques», dont les quatre cinquièmes sont en fait des «mal appris» de la lecture. M. Ouzoulias n'a sans doute pas lu le livre de l'orthophoniste Colette Ouzilou, La dyslexie, une vraie-fausse épidémie (Presses de la Renaissance, 2001), qui analyse très bien le problème, affirmant que ce départ d'apprentissage de la lecture en «globale» va induire des réflexes désastreux chez 40% des élèves, réflexes dont ils ne parviendront pas à se défaire ! D'ailleurs, c'est une méthode syllabique qu'utilisent les orthophonistes lorsqu'ils rééduquent les "mal appris" de la lecture...

De même, M. Ouzoulias prend comme preuve du supposé mauvais fonctionnement de la méthode syllabique, le taux élevé de redoublants en CP – «plus de 30% au milieu des années 60». Or il semble avoir «oublié» que, depuis la loi Jospin de 1989, aucun élève, sauf exception, ne doit redoubler le CP, et qu'il y a des «quotas» très stricts de redoublements à respecter, et tant pis pour ceux qui passent en CE1 alors qu'ils ne savent pas lire !

benp70001Et M.Ouzoulias me semble particulièrement de mauvaise foi lorsqu'il met en avant «le nombre de classes de perfectionnement et de classes d'adaptation» qui accueillaient, en fait, des enfants psychologiquement très fragiles, et parfois légèrement déficients, ayant besoin d'un enseignement adapté à leur handicap. Il faut dire que ces enfants existent toujours mais que, pour des raisons budgétaires, on a supprimé ces classes spécialisées, et qu'on a décidé d'inscrire ces enfants dans les classes «régulières», ce qui n'est favorable à personne.

Enfin, comble de la mauvaise foi, c'est au nom des valeurs de «solidarité, d'égalité, d'éducabilité (sic) et de démocratisation du savoir» que M. Ouzoulias prend son « gourdin » de pèlerin pour démolir la méthode syllabique.

Comme si ce n'était pas pour permettre au plus grand nombre d'avoir accès à un vrai savoir et à de vraies connaissances que nous nous battons ! Comme si nous ne tenions pas le plus grand compte de l'état dans lequel se trouve aujourd'hui l'école de la République ! C'est grâce à la maîtrise de la lecture dès la fin du CP que l'élève pourra progresser dans sa scolarité, à condition, bien sûr, que les programmes des années suivantes soient riches ! Car moins l'école transmet de connaissances et plus elle est inégalitaire, puisque les enfants des milieux modestes n'ont que l'école pour s'instruire ! Tous ceux, donc, qui approuvent les réformes de ces dernières décennies, et particulièrement celle de 1989 (loi Jospin) sont profondément «anti-égalitaires» et «anti-démocratiques». Les effets de cette réforme sont désastreux, comme l'avait écrit M. Jean Ferrier, chargé officiellement par le ministère de faire, en 1998, un rapport sur l'école primaire après huit ans de réforme Jospin. Son rapport commence ainsi «On peut estimer à environ 25% d'une classe d'âge la proportion des élèves en difficulté ou en grande difficulté à l'entrée au collège.» [Ce rapport estcouv422 disponible sur le site de la documentation française]

Enfin, on notera que M. Ouzoulias ne nomme pas les sites Internet dont il extrait des mots d'ordre. Là aussi, l'amalgame est malhonnête puisque l'on reconnaît des sites qui mélangent lutte pour une école de qualité et programme de droite dure (suppression des syndicats), et des sites pour lesquels compte avant tout une école de qualité. Et c'est pour cela qu'ils réclament la suppression des IUFM (institut de «formatage» des maîtres) ! On comprend bien que M. Ouzoulias, qui y enseigne , y soit opposé ! Mais le public ignore sans doute que ce sont les mêmes professeurs qui enseignent dans ces instituts ET notent leurs étudiants et donc valident leurs années de formation ou non ! Ils ont beau jeu, après, à demander à leurs étudiants de critiquer l'enseignement qu'ils reçoivent !

En fait, en matière de lecture, on a affaire, en France, à un dogme : on n'a pas le droit de le critiquer. Or, comme depuis quelques années des livres ont paru qui décrivent TOUS la crise de notre enseignement et, plus particulièrement, de notre enseignement primaire avec gros plan sur l'enseignement de la lecture selon la méthode semi-globale, les grands prêtres de cette méthode, fort bien introduits auprès des médias, sont tous montés au créneau.
Ils n'ont de cesse de traiter de «réactionnaires» ceux qui veulent réintroduire une méthode qui marche, car elle est fondée sur le bon sens – partir du simple pour aller vers le complexe.

Prétendre défendre «l'intérêt des enfants» en falsifiant comme cela la vérité, et parler au nom «des professionnels de l'enseignement de la lecture» me paraît malhonnête. Je ne connais de «professionnels de la lecture» que ceux qui sont sur le terrain, c'est-à-dire les instituteurs, qui voient tous les jours les dégâts causés par la semi-globale, et les professeurs de lycée et collège qui sont impuissants à aider tous les élèves – nombreux – qui lisent mal !

Enfin, je me demande pourquoi, lorsqu'on répond à un article paru dans «Rebonds» en démontrant, documents à l'appui, qu'il contient des affirmations erronées, on n'est JAMAIS publié !
Libération aurait-il des convictions qui confinent au respect absolu du dogme ?

Mireille Baux-Grandval, professeur agrégé de grammaire.
Mission économique de Rangoun
14 janvier 2006

- source de cet article : Sauver les Lettres



2701105390.08.lzzzzzzz

Méthode Boscher, Belin, 2005


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Commentaires
M
Sra. Mireille:<br /> <br /> <br /> <br /> Me encantaria hablar con usted, si es la persona que creo la he buscado durante muchos años y me complaceria por fin conocerla, era muy pequeña cuando dejaron México.<br /> <br /> Cuando podemos hablar?
M
Bravo Madame, comme cela fait du bien de vous lire !!!<br /> <br /> Tout ce que vous décrivez est exact.<br /> <br /> Frédérique Z<br /> <br /> Professeur des écoles, ayant enseigné en CP, CM1, CM2 et institutrice en grande section depuis 19 ans. Fille d'instituteur en classe de perfectionnement, ayant donc de ce fait entendu votre discours déjà sur les enfants envahissant les cabinets d'orthophonistes et pour cause. Les perf rééduquaient des enfants fâchés avec des méthodes globales et effectivement j'ai vu mon père reprendre les choses, comme vous le dites si bien, du plus simple vers le compliqué, et cela marchait... Jusqu'à la liquidation de ces classes spécialisées, conduites par des maîtres passionnés, spécialisés mais surtout formés. Je colle à cette logique démontrée par vous dans votre article et suivant les modes cela n'a pas toujours été facile. Heureusement j'ai bénéficié de l'expérience familiale et tenu bon. Les résultats étant là, je continue contre vents et marées mais il faut sans arrt^t expliquer, démontrer, ce aui n'est pas pour me déplaire. La plus belle récompense : le savoir-faire des enfants au bout du compte.
M
"En fait, en matière de lecture, on a affaire, en France, à un dogme : on n'a pas le droit de le critiquer"<br /> Je suis d'accord à une condition qui est de préciser que ce dogme n'est pas celui de "la globale" contre la syllabique mais bien celui qui consite à ne dicuter qu'en terme de méthodes de lecture.<br /> <br /> Je m'explique en reprenant ce que j'ai écrit sur le blog de JP Brighelli qui me semblait faire une bien mauvaise défense de la méthode Boscher <br /> <br /> * * * * * *<br /> Ecrit par : brighelli | 08 mai 2006 <br /> <br /> Jean-Paul Brighelli a écrit :<br /> <br /> « Le livre de Rachel Boutonnet, Comment et pourquoi j'enseigne le b.a-ba, s'appuie sur Leo et Lea, qui est une alternative (moderne) à la méthode Boscher. »<br /> <br /> Cher Jean-Paul , je vais dire, comme formule accrochcuese, que ta comparaison revient à dire que le couteau est la forme moderne du service trois pièces et, profitant de ce gimmick , je vais essayer d’explorer des questions peu évoquées mais , à mon avis, centrales.<br /> <br /> C’est encore effectivement un de tes vieux penchants – certes notablement partagé mais tu dois savoir par expérience que l’opinion majoritaire n’est pas obligatoirement la bonne - à mettre au premier plan, dans l’analyse des méthodes de lecture, leur caractère plus ou moins analytique ou synthétique ( c'est-à-dire se placer dans la problématique mal appelée Globale/Syllabique ), c'est-à-dire à ne voir le débat qu’au travers du prisme réducteur des « méthodes de lecture » comme cela se passe depuis quarante ans alors que le vrai débat – absent justement - est celui qui pense le poids fondamental du rôle de l’écriture en opposant les méthodes d’écriture-lecture aux méthodes de lecture-écriture. Car il n’y a aucun doute comme le disait l’anarchiste James Guillaume en 1885 , citant M. Block dont la méthode justement explicitement d’écriture-lecture était recommandée par l’ex-anar F. Buisson comme directeur de l’enseignement primaire (1) : « On ne peut évidemment pas lire que ce qui n’a pas été écrit »(2). Et cette position , id est s’intéresser principalement au poids de l’écriture permet de ne pas nier l’opposition globale syllabique mais de la remettre à sa place qui est seconde.<br /> <br /> A mon sens, depuis au moins quarante ans, la discussion s’est enlisée, au bénéfice pur des « idéovisuellistes » dont le nom dit bien qu’ils ne s’intéressent qu’à la lecture et pas à l’écriture, en se focalisant sur des méthodes de lecture découplées de l’apprentissage de l’écriture : l’exemple en est la focalisation sur l’opposition méthode globale / méthode syllabique qui renvoie à la lecture et non à l’écriture car personne ne peut parler sensément de méthode d’écriture globale ni de méthodes d’écriture syllabique. Cette réduction de la discussion sur le terrain étriqué de la seule lecture trouve spontanément une large assise consensuelle dans la mesure où l’illusion de la possibilité de l’apprentissage de la lecture par la voie directe est plus forte que celle de son homologue pour l’écriture [ Pour un exemple édifiant « d’écriture par la voie directe » couvé par les khmers rouges de la lecture , voir page 2 de http://michel.delord.free.fr/lir-ecrlect.pdf. <br /> <br /> Présentée curieusement comme pédagogie active, cette réduction de l’écriture-lecture à la seule lecture tend à geler en fait l’activité du sujet en la confinant à une pure réception et interprétation de l’information (3). Tendanciellement elle s’oppose aussi à la possibilité de formuler de manière durable et précise un jugement par écrit (4). <br /> <br /> Ceci dit, revenons à ta mise sur le même plan de Leo et Lea et de la méthode Boscher ( je n’aborde pas ici les mérites comparés de Leo et Lea et Boscher en tant que méthode de lecture) , c'est-à-dire le couteau comme forme moderne du service trois pièces.<br /> <br /> Je m’explique : il faut vraiment être pris dans le piège de la problématique de la seule lecture pour ne pas voir<br /> <br /> - que la méthode Boscher n’est pas une méthode de lecture – et pourtant c’est comme Port Salut, c’est écrit EN GROS dessus - puisqu’elle se présente pas elle-même comme une méthode de lecture mais comme "La journée des tout petits" "Livret unique de calcul ,lecture , écriture" ou " « enseignement de la lecture, de l’écriture, de l’orthographe, du langage, du calcul, du dessin, de la leçon de choses, de la récitation »<br /> <br /> - que, même si on la réduit à son rôle de « méthode de lecture » , c’est une méthode d’écriture-lecture et non de lecture-écriture<br /> <br /> La méthode Boscher est donc tout au contraire une des premières réalisations de la révolution pédagogique des années 1880. En contre la loi Falloux qui séparait <br /> - l’apprentissage des débuts de la lecture et celui de l’arithmétique ( dans l’ordre lecture –ecriture- numeration – calcul)<br /> - dans « l’apprentissage de la lecture » la lecture proprement dite et de l’écriture ( lecture puis écriture ), <br /> - dans l’apprentissage de l’arithmétique celle de la numération et de du calcul ( numération puis calcul )<br /> <br /> les théoriciens de la pédagogie des années 1880 1900 qui fondent l’instruction publique proposent l’apprentissage simultané, dés la maternelle / CP (inventé apparemment vers 1897) <br /> <br /> - l’apprentissage simultané des débuts de la lecture et celui de l’arithmétique <br /> - de l’apprentissage simultané de la lecture et de l’écriture en inversant la position précédente et en insistant sur l’importance de l’écriture <br /> - l’apprentissage simultané de la numération et du calcul ( Voir article « Calcul intuitif » du DP )<br /> <br /> Et les années 70 reviennent sur tous ces plans à l’obscurantisme pré Instruction publique puisque<br /> - les programmes de 70 de CP réduisent l’apprentissage des opérations en CP à l’addition ( on ne peut faire moins car, pour compter, il faut bien savoir que 6 = 5+1 et répéter le processus)<br /> - les méthodes ideovisuelles se concentrent sur la lecture <br /> <br /> Donc, pour revenir au service trois pièces , il est clair que le couteau est l’écriture-lecture, la fourchette est le calcul. Reste une question : qu’est la cuillère ?<br /> <br /> La cuillère est le dessin, présent aussi dans la méthode Boscher car, comme le répète G. Compayré , auteur du plus fameux manuel de pédagogie des EN des années 1880/1910 qui a eu de nombreuse éditions en Amérique du Nord et du Sud (et que Mathurin Boscher a probablement eu comme manuel) :<br /> <br /> «S'il est possible, dit M. Gréard, de commencer presque en même temps le calcul [ et l'écriture-lecture, justement pas "la lecture" qui n'a pas besoin du dessin. MD] , c'est parce que l'épellation et la numération, le tracé des lettres et celui des chiffres sont des exercices de même degré et à peu près de même nature.»<br /> <br /> Le couvert est mis . Comme je sais que tu es un fin gastronome, que nous proposes-tu comme menu ?<br /> <br /> Amicalement<br /> <br /> MD<br /> <br /> PS : Pour des renseignements complémentaires et des références précises : <br /> Michel Delord, « Résumé du débat historique sur les méthodes de lecture »<br /> http://michel.delord.free.fr/lecture.html<br /> et en particulier <br /> « M. Goigoux et les références scientifiques » texte vieux de plus d’un an, <br /> http://michel.delord.free.fr/goigoux.pdf<br /> <br /> Notes :<br /> <br /> (1) Sur les courants politique de cette époque , lire les extraits de biographie donnés sur <br /> http://michel.delord.free.fr/dp.html <br /> et sur les implications politiques sur les thèses pédagogiques au XXeme siècle : « Dixi et salvavi animam meam » <br /> http://www.ecoledemocratique.org/article.php3?id_article=300 <br /> <br /> (2) Citation complète dont la validité ne dépend pas du progrès des Sciences de l’Education : « On ne peut évidemment pas lire ce qui n’a pas été écrit. Ce que les hommes ont dû inventer, c’est donc l’écriture, le signe visible de la parole : la lecture s’ensuivait nécessairement. »<br /> <br /> (3) Parangon de l’activité passive du consommateur au mieux éclairé à qui on ne demande que d’apposer sa signature au bas d’un contrat, cette pédagogie s’impose à partir des années 60, moment où la jeunesse des teen-agers est pensée pour la première fois en France comme un segment déterminant du marché, situation comparable à celle qui a vu la victoire du Look-and-Say aux USA<br /> <br /> (4) Un prolongement actuel de cette limitation de l’enseignement à la lecture est cette perversion de la technique du copier-coller qui sévit de la maternelle (où les bambins découpent et collent des étiquettes-mots sans pouvoir les lire réellement) au lycée (où les professeurs sont inondés de documents puisés sur Internet et recopiés sans avoir été compris par le copieur).<br /> <br /> Ecrit par : Michel Delord | 09 mai 2006 <br /> <br /> * * * * * * *<br /> <br /> Je compléterai avec un résumé d'une page sur cette question disponible maintenant sur mon site :<br /> <br /> Ecriture-lecture/Lecture-écriture <br /> versus<br /> Globale/Syllabique <br /> <br /> http://michel.delord.free.fr/ecritlect.pdf<br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> MD
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